C’est notamment par amour pour la musique qu’Elzo Durt s’est lancé dans le graphisme. Ce monde l’a toujours attiré et il voulait en faire partie. Amateur de punk et de rock, il ne fait pas dans la dentelle en termes de goûts musicaux !
Dès son plus jeune âge, il a été bercé par le rock grâce à son père « Le premier disque que j’ai acheté c’était London Calling des The Clash parce que mon père les écoutait », explique-t-il. C’est tout naturellement qu’il poursuit sur la route du rock’n’roll avec une première véritable claque musicale grâce à Nirvana, « C’est le tout premier groupe qui m’appartenait, j’avais 11 ans et c’était une grosse claque, et ça l’est toujours. C’est que c’est une bonne claque ! », confie-t-il.
Depuis, Elzo Durt a pu travailler avec ses groupes préférés tels que Magnetix, Frustration, The Oh Sees, Jack Of Hearth. « Travailler pour ses groupes préférés, c’est le Graal, c’est dingue ! Frustration je n’ai jamais fait la pochette de l’album et j’en rêve ! ». Dans ce petit monde underground, il explique que tout se joue au rapport humain et aux rencontres. C’est peut-être même ce qu’il préfère au fond.